Ces photos ont été prises par des étudiants de Computer GRRRLS. Si vous survolez l'image, l'auteur est affiché.
Anabella
Aujourd’hui, nous avons visité l’exposition « Computer Grrls ». Cette visite était exceptionnelle parce que les oeuvres sont fait seulement par femmes. Je suis une fille dans le domaine des neurosciences, et je pense que c’est important d’entendre comme les filles ont avancé le monde de technologie et science. Cette exposition m’a fait réfléchir sur le monde numérique moderne et ses effets sur la société. Toutes les expositions adressent un problème de la société avec le « cyber féminisme » . En particulier, j’aimais l’ouvre qui s’appelle « I’m here to learn so :)))) ». Cette installation s’agit du robot « Tay » fait pour Microsoft. Tay était un robot controversé parce qu’elle a appris à dire choses vulgaires. Cette installation par Zach Blas et Jemina Wyman nous permettons voir la perspective du Tay. En conclure, bien que les installations sont un peu bizarres, ils expliquent le monde de cyber féminisme et la contribution des femmes à la technologie.
Anisha
Ma spécialisation est l’informatique et je suis en minorité aux États-Unis parce je suis une femme indienne. Donc Computer Grrrls était une exposition personnelle. Ma partie favorite était la réalité virtuelle. J’ai déjà fait une sorte de jeu avec la réalité virtuelle dans une exposition à Philadelphie mais celle de Computer Grrrls était meilleure. Outre du fait que je me sentais que j’était à l’espace, j’aime beaucoup qu’elle souligne <<Afrotech>>. C’est un bon message pour des filles africaines qui n’ont pas beaucoup de représentation dans le monde d’informatique. J’ai aussi appris que je ne veux pas devenir astronaute, bien que c’est une de mes rêves, car quand je flottait au fin, j’avais assez peur. Malheureusement, il n’y a pas beaucoup de choses que j’aime dans ma spécialisation mais cette exposition me montait que les femmes peuvent créer des choses très cools avec l’informatique. Je suis plus heureuse maintenant de continuer avec ma spécialisation.
Anna
C’est une photo d’une vidéo par Center for Technological Pain. La vidéo montre des mouvements (qui sont dérivés des mouvements d’autodéfense) pour aider un ami qui souffre des douleurs à cause de sa technologie. Cette œuvre est ma favorite parce que je la trouve drôle. Je l’aime aussi parce que la vidéo est bien fait, et les actrices sont sérieuses, comme une satire. La vidéo montre aussi les données utilisées pour améliorer les douleurs d’une personne à cause de ses mauvaises habitudes avec ses technologies, spécialement avec son portable. En plus, elle donne au public des mouvements pour autodéfense que chaque personne devrait savoir. J’aime que cette vidéo est drôle, mais j’aime plus qu’elle apprend aux autres des mouvements et des formes pour défendre eux-mêmes. Je pense que la vidéo responsabilise et valorise les filles par les donne des conseils pour adresser leur douleurs à cause de leur technologies. Elle fait aussi ça par les montre une chose qu’une femme peut créer avec la technologie de cinéma, et par les apprend des techniques pour protéger elles-mêmes. Avec la vidéo, il y a des tracts qui montrent les mouvements dans la vidéo, et je l’aime parce que maintenant, je ne peux pas oublier ce que j’ai appris aujourd’hui.
Bryan
Notre visite à #computergirls était très unique ! L’histoire de l’informatique est très cool et c’est bon à voir comment les femmes ont fait un grand quantité de contributions à ça. J’ai aussi trouvé les exposés d’être fascinants ! Ce qui m’intéresse le plus était le VR. J’aime comment je pourrais regarder autour et me sentir en effet dans un autre monde ! Les CGI pour ça était fait très bien et le message était pratique, un message de liberté je pense. J’ai trouvé l’exposé avec le Hologram chambre très amusant. Le twitter robot montre comment on doit être doux quand on fait les neuronetwork robots parce qu’ils peuvent apprendre les choses mal. J’ai aimé le premier machine de batterie qui peut faire beaucoup de musique comme le waltz par exemple. Enfin j’aime comment en haut il y avait un café avec les jeux vidéos. Je pense que c’est un bon place pour les gens qui aime l’informatique n’importe qui !
Notre visite était très durable. J’aime comment tout cette quartier semblent durable. Le parc qu’on a vu première a un fiche pour un fête vert ! Le parc a les places qui était fait avec les arbes. Le visite à l’auberge était dessinée avec beaucoup de technologie qui réduit l’énergie. C’est génial parce qu’on utilise beaucoup de l’énergie qui effect l’environment parce qu’on doit utiliser le pétrole de faire l’ectricité. Les choses qui j’aime les plus était le panel solaire, le système climatique, et le systèmede l’eau. Il y avait les panels solaire et le photovoltaïque qui sont même mieux comme ça ! Le système climatique utilise l’air froid de la terre sauf un HVAC système. L’eau est préchauffé avec de l’eau qui était chaud des douches. Je pense que tous les bâtiments devraient être comme ça si on veux devenir plus vert et limité notre impact environnemental.
Notre visite était très durable. J’aime comment tout cette quartier semblent durable. Le parc qu’on a vu première a un fiche pour un fête vert ! Le parc a les places qui était fait avec les arbes. Le visite à l’auberge était dessinée avec beaucoup de technologie qui réduit l’énergie. C’est génial parce qu’on utilise beaucoup de l’énergie qui effect l’environment parce qu’on doit utiliser le pétrole de faire l’ectricité. Les choses qui j’aime les plus était le panel solaire, le système climatique, et le systèmede l’eau. Il y avait les panels solaire et le photovoltaïque qui sont même mieux comme ça ! Le système climatique utilise l’air froid de la terre sauf un HVAC système. L’eau est préchauffé avec de l’eau qui était chaud des douches. Je pense que tous les bâtiments devraient être comme ça si on veux devenir plus vert et limité notre impact environnemental.
Chesson
Le 19 juin, nous avons visité La Gaîté Lyrique, un endroit pour les exhibitions d’arts et les spectacles de musique. Là, nous avons vu une exhibition sur le féminisme en le vingt-et-unième siècle et la technologie qui s’appelle « Computer Grrrls ». Toutes les pièces d’arts sont très contemporaines ; la majorité sont les vidéos avec l’audio ou les expériences de réalité virtuelle ! De plus, j’ai trouvé une écrasante majorité de ces pièces d’être très étrange et quelques était vraiment effrayant. Par exemple, j’ai vu un très long vidéo sur le sujet du mort (je pense) et la plupart du vidéo a inclus des corps dansant avec des sourires terrifiants ! Cependant, je pense que cette visite a été mon favori pendant cet été jusqu’à maintenant. Tous l’exhibition était très étrange et je n’ai compris pas le but de beaucoup des pièces d’art, mais tout a vraiment gardé mon attention ! Je pense que ma pièce d’art favori était la grande chambre avec les écrans sur chaque mur. Dedans là, il y a un vidéo long sur une fantôme qui hante l’ordinateur d’un utilisateur. J’ai aimé beaucoup cette expérience parce que j’ai senti que j’étais dans un film !
Eleanor
Mercredi, notre group a visité une exhibition à la Gaité Lyrique qui s’appelle “Computer Grrrls.” L’exhibition se concentre sur l’art informatique crée par les femmes, surtout avec un centre sur le féminisme. Je me suis attendue l’art traditionel avec simplement des elements qui se rapportent à l’informatique, mais les ouevres étaient vraiment différents que tous les choses que j’avais vu avant. Certains je n’aimais pas du tout, et certains je trouvais très captivants. Je ne m’intéressais pas avec “Housewives Making Drugs.” Le concept original était unique, mais il y était trop des éléments, et le sens était perdu. Mon ouevre préféré était “Polly Returns” par Jenny Odell. L’ouevre montre les pressions sociale que les femmes d’aujourdhui affrontent. Dans l’ensemble, je pense que l’intersection du feminism et de l’informatique est intèressant. Cependant, je pense que l’exhibition ne montre pas tous les idées qu’elle veut présenter.
Fatima
La Gaîté Lyrique est un lieu magnifique. Je pense que cette sortie scolaire est ma favorite, parce que c’est très unique. J’aime bien tous les arts dans l’exhibition, même si c’est un peu bizarre. Pourtant, je préfère « Body Scan » par Erica Scourti, parce que j’aime sa message. L’art est un séries d’images par Google accompagné par une voix off de Scourti. Elle parle des résultats de la cherche Google dans in façon amusant, et avec des suggestions sexiste. Pour moi, son art souligne les difficultés être une femme. Souvent, nous critiquons nos corps. Nous nous appelons laide et grosse. C’est difficile être une femme dans le monde, mais Erica Scourti montre ça difficulté. Elle a dit les mots que plus de femme dit dans leur tête. Elle montre la problem, alors que nous pouvons corriger nos mentalité. Je pense qu’elle a créé l’art très forte.
Jillian
Jeudi après midi, la classe a visité une exposition appelé «ORDINATEUR GRRRLS». Je l’ai vu pendant que une promenade avec Ippolito et j'étais intéressé, donc je suis heureux que nous avons visité. Cependant, je n'ai pas aimé les informations présentées parce qu’il y a beaucoup de choses bizarres et c'était trop féministe pour moi. Je souhaite que le musée avait moins d'emphase sur le féminisme et plus sur les histoires de réussite de femmes. En tant que majeure en informatique, j'aime apprendre sur les femmes qui a une lien avec moi. Par exemple, les manifestes ont été écrits par des féministes folles qui essentiellement voulaient éliminer des hommes. Si je devais choisir ma meilleure part, je choisirais la réalité virtuelle. Je l’ai vraiment aimé parce que les graphiques étaient très magnifique - les environs ont gardé leur cohérence quand vous avez bougé ou regardé autour de vous. C’est très cool et je pense que cette technologie est l’avenir.
Josh
Pour la visite aujourd’hui, nous sommes allés à La Gaîté Lyrique, un endroit avec une exposition de Computer Grrrls. L’exposition dure pour 4 mois, du 14 mars au 14 juillet. Là, nous avons vu des œuvres des artistes avec les origines de l’informatique. Il y avait beaucoup d’œuvres qui étaient dans la forme des vidéos avec les casques audios. Il y avait aussi un œuvre dans la forme de la réalité virtuelle. Je pensais que j’étais sur un tour de montagnes russes. Cependant, l’œuvre la plus intéressante était la chambre sonore. Crée par Nadja Buttendorf, il était une œuvre très bizarre avec l’ « ASMR » (Autonomous Sensory Meridian Response en anglais) avec un Kleincomputer Robotron KC 87 (un type d’ordinateur). Quelques parts de la vidéo me fait froid dans le dos, parce qu’elle a traîné les ongles à travers des rainures de l’ordinateur et à travers des boutons. Cela était le but de l’œuvre, la stimulation physique à cause des chuchotements et des sons doux. Je ne sais pas si j’ai aimé cette œuvre, mais j’ai connu ce genre des vidéos parce qu’ils sont partout sur YouTube, spécialement pendant l’année dernière. Il y a certains genres d’ASMR que je peux voir, mais cette œuvre était un peu dur de tolérer.
MacKenzie
Au musée pour les femmes qui travaillent à la technologie, j’ai trouvé plusieurs oœuvres qui ont décrit les vies de travail pour des femmes. Par exemple, il y avait une plaque pour expliquer l’origine du mot “ordinateur” où le traducteur a voulu rendre le mot féminine à cause des employés des ordinateurs qui étaient femmes. Cependant, la partie que j’ai préféré, elle était la vidéo des femmes qui ont expliqué ce qu’elles a fait pour leur travail digital. Dans cette vidéo, la première femme a expliqué qu’elle et sa fille chaque ont créé les profils digital pour un certain type de travail sur ligne. La femme a créé un profil faire semblant d’être un homme. Dans la vidéo, elle dit qu’elle a gagné plus d’argent avec moins de règles ou la infériorité du client. Donc, elle explique une exemple concrète du sexisme dans travail. La deuxième femme dans la vidéo a travaillé sur le téléphone. Elle a répondu au téléphone mais les clients étaient américain ou ils ont parlé anglais. Donc, elle a dû parler exactement anglais comme le client pour que le client n’était pas uncomfortable avec elle. Au travail, tous les employés ont dû parler et faire semble d’anglais à tous le temps. Donc, cette exemple explique la xénophobie dans travail. Cette vidéo me rappelle qu'il y a toujours des discrimination dans le travail et que les gens ne doivent pas avoir peur de se changer pour plaire des autres.
Neha
Aujourd’hui, nous sommes allés à l’exhibition de Computer Grrrls. C’était une exhibition qui avait beaucoup d’œuvres par les artistes qui a essayé de concentrer le rôle des femmes dans le développement informatique. Mon œuvre favori était le « Neurospeculative afro feminism ». Cet œuvre avait la réalité virtuelle. Je n’ai jamais fait la réalité virtuelle, donc j’ai trouvé cet œuvre sera très intéressant. Dans la réalité virtuelle, cela montrait une femme noire et essayait de puiser dans mon cerveau pour relâcher les tensions que les femmes noires avaient. Il m’a apporté à un endroit qui était très sombre et semblait effrayant. À la fin, il a dit que mon cerveau serait plus léger parce que j’ai laissé mes tensions à cet endroit. Il a dit qu’il y a de l’espoir pour un futur où la technologie est créé par et pour les femmes noires. J’aimais cet œuvre le plus parce que je m’intéresse dans la réalité virtuelle.
Paige
Mercredi nous sommes allés à la Gaîté Lyrique pour visiter l’exhibition Computer Grrrls. Elle est un hommage aux femmes dans l’informatique, qu’elle exprime utilisant les exhibitions d’art. Mon exhibition favorite a été « Center for Technological Pain, » qui concerne comment la technologie est mauvaise pour les humains. J’ai l’aimé parce qu’elle est très amusante et, au même temps, elle envoie un bon message sur l’importance de traiter la technologie avec soin. L’idée de l’exhibition est un centre qui enseigne les personnes comment intervenir quand leurs amis ont les problèmes avec la technologie. Ces problèmes incluent l’addiction, l’obsession, la surutilisation, et la mauvaise position. Il y a les vidéos et les brochures qui expliquent ce que vous deviez faire dans ces situations. Les solutions vont de tirer les oreilles de la personne pour réparer leur posture aux coups de tête pour empêcher de devenir obsédés par leur portable. Je pense que c’était une bonne idée parce que l’absurdité attire attention sur les graves problèmes que les portables peuvent causer. Peut-être cette exhibition peut changer la manière dont les gens interagissent avec leur portable.
Reid
Mercredi nous avons aller voir une exposition appeler “computer grrls”. Cette exposition avait certainement des aspects de l’art, mais pour moi, c'était plus informative. Justament, voyant que c’est sur des villes qui est dans l’informatique. L’exposition avait beaucoup d’images et oeuvres tres etrange ou choquant, ces n’est pas que des choses du courant dominant. Je peux dire que je n’ai pas très bien compris beaucoup de les oeuvres la. Mon préféré oeuvre était sur les filles qui prend des free-lance métiers sur l’internet. Pour le regarder je devais m’assoir sur le terre avant une télé, et j’ai pris des écouteurs. Donc, déjà, ce n’est pas normal d'être assi sur la terre. Puis sur l'écran, tous que vue pouvais voir était une espèce de statue dans le forme de la fille qui parlait, et cette statue sans visage ni autres trait, tournaient dans une mannier sans raison. Derrière cette personne était just des couleurs vibrantes. Même j’ai pas bien compris les images, ce que j'écouter était très intéressante. C'était l'histoires de des filles d’age différents qui essayent de gagner d’argent par faire des boulous sur l'internet. Par exemple aider quelqu'un avec leur profilé de Tinder, ou faire leur devoirs.
Richard
Ce Mercredi, nous avons visite l’exposition de Computer Grrrls, dans le Gaité Lyrique, construire avec les rénovations de Baron Haussmann. L’exhibition a un assortiment des médias, dont comprendre : les visuelles, les audios, et les sensations. Je préfère l’exhibition d’histoire des femmes dans la technologie. La première femme était Nicole-Reine Lepaute, qui est qualifiée de savante calculatrice par Alexis-Claude Clairaut. Elle a fait des calculs astronomiques complexes et notamment ceux sur l’orbite de la comète de Halley.
Une autre femme de notamment est la comtesse Ada Lovelace, ou l’enchanteresse des nombres. Elle augmente de notes de Charles Babbage pour un transduction de l’article que l’ingénieur Luigi Menabrea consacre. Celle que Charles surnommait l’enchanteresse des nombres décrit comment la machine pourrait utilisée pour manipuler des nombres et des lettres et des symboles, dont elle perçoit la potentielle. Pour elle, la machine pouvait être programmée pour créer. Selon l’exhibition, Lovelace, « tisse des motifs algébriques comme le métier de Jacquard tisse des fleurs et des feuilles. »
Une autre femme de notamment est la comtesse Ada Lovelace, ou l’enchanteresse des nombres. Elle augmente de notes de Charles Babbage pour un transduction de l’article que l’ingénieur Luigi Menabrea consacre. Celle que Charles surnommait l’enchanteresse des nombres décrit comment la machine pourrait utilisée pour manipuler des nombres et des lettres et des symboles, dont elle perçoit la potentielle. Pour elle, la machine pouvait être programmée pour créer. Selon l’exhibition, Lovelace, « tisse des motifs algébriques comme le métier de Jacquard tisse des fleurs et des feuilles. »
Sarah
Notre visite à Computer Grrls était un experience unique. C’est une exposition temporaire d’art contemporain au sujet des femmes dans le domaine d’informatique. L’œuvre que j’ai aimé le plus est Technologies of Care par Elisa Giardina Papa. Cette œuvre est un vidéo d’environ 24 minutes dans lequel l’artiste montre des entretiens avec les gens qui fournissent des services en ligne, pour examiner cette industrie. Quelque chose que j’ai aimé est comment l’œuvre est monté dans l’exhibition. Le vidéo est passé sur un télévision qui reste par terre avec un tapis en mousse pour s’asseoir. J’ai trouvé ça sympathique, parce que c’est comme on le regarde dans une manière très détendue et confortable, comme on le regarde chez soi, en contraste des autres vidéos de l’exhibition. J’ai aimé apprendre de tous les boulots digitaux qu’elle a recherché, comme petit ami virtuel, coach de rencontres en line, performeuse vidéaste, etc. parce que je pense que, même si c’est “l’ère numérique”, ces boulots ne sont pas bien connus. Les extraits audios des entretiens sont couplés avec un montage vidéo des gens digitaux et abstraits. Je pense que c’était bon d’avoir quelque chose pour regarder pendant qu’on écoute le son, mais j’ai trouvé l’art vidéo un peu répétitif et je n’ai pas pu déterminer s’il y a un lien entre les histoires et les vidéos ou pas.
Thomas
Mardi, nous allons visité la Gaîté Lyrique. A ce moment, il y a un exhibition de l’intersection de féminisme et la numérique. COMPUTER GRRRLS représente la moderne mouvement de cyberféminisme, et tous ces sous-genres. Mais il y en a deux choses qui m’a intéressé le plus. La première était une collection de manifestes cyberféministes. Ces manifestes ont utilisé de langage colore pour décrire leurs buts et motifs. L’installation qui a résonné avec moi n’était pas avant-garde, ni surréel. C’était un original « Side Man 5000 ». Le « Side Man 5000 » est la première boite à rythme, fabrique en 1959. Il est vraiment un pièce de la commencement de la musique électronique. C’était très cool de le voir en personne.